Les conclusions de cette étude ont un impact déterminant au niveau de la minimisation du risque d’infection croisée dans les sanitaires hospitaliers

Une nouvelle étude multicentrique dans le monde réel a mis en évidence que les sanitaires sont associés à une contamination bactérienne significativement moindre lorsqu’ils sont équipés d’essuie-mains en papier, par rapport à des sèche-mains à air pulsé.

L’étude, dirigée par le Professeur Mark Wilcox de l’Université et du Centre hospitalier universitaire de Leeds, a été menée en France, en Italie et au Royaume-Uni. Son objectif : examiner l’étendue de la contamination environnementale par des pathogènes bactériens potentiels dans des sanitaires hospitaliers, en fonction des méthodes de séchage des mains utilisées. Des bactéries antibiorésistantes – dont des SARM et des entérocoques résistants aux bêta-lactamases à spectre élargi – ont ainsi été détectées en plus grandes concentrations dans les sanitaires dotés de sèche-mains à air pulsé.

Lisez les détails et trouvez le lien vers l’étude à cette page: ÉTUDE MULTISITE HOSPITAL

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